SHAKIRA – Loca
Sortie le 10 septembre 2010
Référence EPIC – 88697 80989 2
Paroles et musique Shakira, Edward Bello, Dylan Mills et Armando Pérez
Enregistrement en 2010 en République dominicaine, appelée aussi du nom de sa capitale, Saint-Domingue
- Chant : Shakira
- Chœurs : Brenda Mhlongo, James McGorman, Lindiwe Dlamini, Nonhlanhla Kheswa, Olgui Chirino, Shakira et Thomas Dyani
- Basse : Josh Hawks
- Batterie : Peter Cohen
- Percussions : Guy Licata
- Flûte : Simon Attwell
- Guitare : Julio Sigauque
- Claviers : Serdeal Scheepers
- Violon : Kyla-Rose Smith
- Ingénieur du son : Gustavo Celis
- Producteur : Shakira
C’est le premier extrait du septième album de Shakira Sale El Sol sorti le 18 octobre 2010.
A sa sortie, en septembre 2010, ce disque se classe à la deuxième place des ventes en France.
C’est un merengue, un type de musique et de danse originaire de la République dominicaine.
Il existe deux versions de cette chanson.
Une version en espagnole avec le rappeur dominicain El Cata sortie le 10 septembre 2010 et une version en anglais avec le rappeur britannique Dizzee Rascal sortie le 13 septembre 2010.
C’est en fait une réécriture de Loca Con Su Tiguere sorti en 2008 par le rappeur El Cata.
Shakira a également changé les instruments utilisés par rapport au morceau original.
En 2012, l’auteur-compositeur dominicain Ramon « Arias » Vasquez qui a composé Loca con su Tiguere en 1998 saisit la justice américaine pour plagiat contre Sony Music.
Il dit avoir rencontré en 2006 El Cata pour lui présenter sa composition. Il ajoute qu’El Cata lui a fait signer un contrat en anglais pouvoir reprendre sa version pour 2 000 dollars. Enfin, il relate avoir lui-même interprété cette chanson en1998 et fournit une cassette audio comme preuve.
Le 19 août 2014, dans un rapport de 40 pages, Alvin Hellerstein, juge américain du district du sud de New York lui donne raison.
Il doit être crédité en tant que co-auteur et toucher les droits inhérents.
Cette décision concerne uniquement la version espagnole.
Un an plus tard, le 10 août 2015, après un recours de Sony Music qui prouve qu’il a réalisé une fausse cassette, l’affaire est classée sans suite. Le même juge revient sur son premier choix et déclare que Ramon « Arias » Vasquez a fabriqué de fausses preuves.